FANTASYLAND (Ici point de questions et place au RolePlay)

Une grosse patte écailleuse d'un vert profond se pose violemment à terre juste à côté de l'équipement du hobgobelin, faisant voler la poussière du sol.
@ falendil (pointant du doigt l'armure du gobelin et retroussant les babines, dévoilant des crocs de 3 pouces jaunis de chaque côté de la machoire) :
"Ca aitre a Globzoul.. tôa pa touché. Ca à moi trésor !"

après inspection je récupère le cimeterre que je glisse à ma ceinture, et les 4 dagues qui feront office de couteau de lancé ainsi que le deux pièce d'or, le reste ne ferait de toutes façon que me ralentir

Remarquant la manoeuvre de Olan, Globzoul ramasse d'une patte griffue et autoritaire la cuirasse du hobgobelin gisant au sol et se saisi de la garde du cimeterre à la ceinture de Olan. Globzoul pivote sur lui même et profite de la force d'inertie pour coller une énorme claque, à main nue, paume grande ouverte, dans le dos du voleur n'ayant pas tenu compte de son avertissement...

"CA AITR A MOA !!!"

Ayant aperçu du coin de l'œil la manœuvre du barbare, je tente d'esquiver son geste en me baissant vivement, et de lui assener un coup de pied derrière le genou pour le mettre au sol, compte tenu de sa faiblesse actuelle.

Je jette un regrad plein de haine au soldat et regarde le gros monstre vert et le voleur se battre pour une pitoyable armure, puis, dégouté, je m'adosse contre un mur en attendant que ces marauds aient dépouillés les cadavres.

c'est incroyable, comment peut il seulement fléchir ces genou, avec une peau aussi dure !

je m'écarte de Globzoul en boitant, et lui crie:

"Désolé l'ami mais ce cimeterre est à moi ! premier arrivé, premier servis, héhé !"

Globzoul se relève, s' époussète et éclate de rire en voyant le pitoyable et fragile petit humain sautiller dans tous les sens :

"Arff ARFF ARRFFFF... (se tappe sur les genoux, plié en deux avant de reprendre son sérieux. Exhibe ses crocs..)
Toâ vrèmen drol mai moi ken mêm voulôar épé..
ou alor tôa paye a môa 100 Po et toi gardé épé.
Si tôa pa voulôar pay ni rendr.. môa crazé tôa !!"

"encore une fois je m'excuse mais ce cimeterre est à MOI, de plus je n'ai pas la somme exorbitante que tu demande."

Pour calmer le jeu, j'essaie de subtiliser le cimeterre à Olan, pendant qu'il est concentré sur Globzoul, pour le donner à ce dernier

Mon Dieu... Ridicule... tout bonnement ridicule...

Je continue de regarder ce pathétique manège avec des yeux dépités.

Hé bien voilà que sa commence, on se bat entre nous et pourquoi ? un vulgaire cimetère, ça frise le ridicule, surout qu'il doit y avoir encore d'autre gobelin et donc d'autre arme dans la grotte.
Je vais essayer de calmé le jeu par la parole mais je ne ferais pas plus, je suis bien trop affaiblie.

Je me leve tant bien que mal en m'aidant du mur.

"Hé vous, vous allez vous battre pour une vulgaire épée ? vous allez compomettre la cohésion du groupe qui n'etait déjà pas fameuse, c'est pas comme ça que l'on va sortir de cette grotte et encore moins accomplir notre mission. Alors s'il vous plaits, empirer pas notre état, reposez vous tant que vous le pouvez. Et pour se cimetère, soit l'un de vous decide de le laisser ou soit vous vous etrippez joyeusement. Et je ne pense pas que nous avons besoin de la seconde option..."

Je m'affale sur le sol presque épuisé par le simple effort de parler. JE sorts de ma besace des herbes que je pillone afin d'obtenir une poudre. Mélanger à l'eau de ma gourde elle devient un assez bon fortifiant.

(Globzoul baisse la tête comme un petit enfant qu'on réprimande, rentre les crocs et laisse les traits de son faciès se décrispés. Les bras ballants et mains jointes derrières le dos.)
@ Trell:
"Tôa copin.
Tôa sage.
Môa faire comme toi dire."

@ Olan: (retrouvant soudainement son faciès crispé et menaçant, élevant le ton)
"Tôa peu gardé ca mai tôa pu intérai à prendr ca koi aitr à môa.
Globzoul pardonera pu..."

(Globzoul a Trell à la bonne mais n'aime plus Falendil.
Globzoul rejoint trell pour s'excuser et prendre des nouvelles de sa santé tout en enfilant la cuirasse du hobgobelin précédemment ramassée.
Cuirasse en fer CA5

Aprés avoir enfilé une rasade de ma gourde, je tends la préparation
à Globzoul.

"Tiens, c'est un fortifiant, vu dans l'etat dans lequelle tu es je ne sais même pas si tu aurais vancu notre ami, et ça te feras pas de mal d'en prendre un peu..."

Hé bien soyons chanceux que l'un des deux est arréter cette stupidité...

ouf ... finalement je crois que c'est mon jour de chance aujourd'hui !

j'inspecte mes affaires, et une fois que tout est en ordre, attends que mes compagnons soit près à partir.

Je me rappelle qu'après le combat, j'ai salement oublié de me dépoussiérer, ce que je fais, avant d'attendre moi aussi que les autres soient prêts.

Aprés avoir bu dans mon outre quelque gorgée de fortifiant et manger quelque fruit de ma besace je me tourne vers Globzul.

"Tu es encore trop faible, je vais te laisser un deuxieme sort. Tu seras plus efficace au combats avec des blessures plus superficiels. Faits toutes fois attention de ne pas trop forcer dans la mesure du possible: il font laisser un peu de temps à l'organisme pour réparer les liaisons."

Je me concentre pour lancer mon sort. [utilisation d'un sorts de soin de contact]

Ceci fait je me releve et me prepare à partir.

@ Trell :
"Copin druide venir avek Globzoul ?
Globzoul proteg lui d méchan et dé volheurs.." (jette un regard éloquent à Olan)

Globzoul s'appuie sur la cognée de sa hache, s'en servant comme d'un bâton pour se relever.
Posant la hache sur son épaule, il tend sa puissante main au druide afin de l'aider à se relever, le soutient et encadre ses épaules de toute la longeur de son bras gauche.
"On i vaz ?
tous prè ? "

Globzoul s'avance vers la porte séparant la salle du trône du réfectoire.

C'est sa gros monstre vert... Ouvre donc la marche...

Je me prépare à suivre le mouvement, quelques mètres en retrait.

"Que faisons-nous, on fini de purger la grotte, ou on ramène le médaillon aux villageois ?"

"On s'en va! On se fiche que quelques gobelins subsistent dans cette grotte! Sa c'est le travail de ces marauds de gardes! Rien ici ne nous concerne!"