FANTASYLAND (Ici point de questions et place au RolePlay)

Vraimment, aucun esprit de marchandage...

Je prend les chausses en peau de phoques plus des pantalons et une chemise. Cela me coute 35 po.

-Je pense qu'il faudrait que l'on commence à se rendre au port.

-Tu as raison mais une chose me tourmente je ne sais pas si je peux faire confiance aux autres, vu leur regard méfiant je pense que nous devrions partir de notre côté quand pense tu ?

Hum, c'est vrai que tu n'as pas tort. L'elfe noir nous regardait tous d'un mauvais oeuil, je pense que le Sergent Jarnac veut a tout prix obeir aux ordres et n'hésiterai pas à nous sacrifiait. Et puis dans l'ensemble, nous nous sommes séparer sauf nous deux. Cependant je pense quad même qu'il faille rester dans le groupe pour une unique raison: nos voyages vers les îles sera gratuit sous le sceau de l'empereure, alors autant en profiter tu ne penses pas?
Mais il vaut mieux garder nos distance avec les autres du moment qu'ils nous ont pas prouvés qu'ils n'etaitaient pas louche.

-Tu raison, bon sinon sa de dit un verre c'est moi qui offre?

- Je refuse jamais l'offre d'un ami. Je crois que la taverne est par là-bas.

C'est ainsi que Nerevar et Trell firent plus ample connaissance avant de se dirigeait vers le port.

Sinon, Nerevar, j'y pense depuis le debut mais ça ne te semble pas bizarre cette "mission"? Pourquoi a t-on était choisi plus que d'autres? ça me turlupine depuis que nous nous sommes retrouvée avec l'empereure. au fait comment et tu arrivait dans cette salle ?

-Je vivais loin de tout je faisais des mission par ci par la j'etais aussi forgeron
et puis j'ai eu une histoire assez étonnante mais sa ne regarde et pour payer mes détes j'ai été enmener ici et toi ?

Je suis né dans le pays des elfes sylvain et est suivit l'enseignemant des druides d'élites. Aprés cette formation qui a duré toute ma jeunesse, j'ai accompli quelque affaires pour les émissaire de mon roi. Finalemant, un jour, le roi ma demandé à sa cours pour me confier une tache de sa propre voix. C'est ainsi que je suis arrivé dans la salle du trône. Mais je me demande, il y a dans mes concityens pas mal de gens plus qualifié que moi ou plus sage. Je pense que mon roi m'a envoyé ici car je suis une unité qui peut etre perdu, je ne suis pas de grande importance. Je ne t'es pas dis que j'avais une origine modeste.

Il n'est pas trés bavard sur son passé se Nerevar, il doit avoir qu'elle que chose sous cette affaire.

-Bon fini ton verre et allons nous sans j'ai besoin d'action....
(Boissons *2 = 15 Po)
il faut oublié ton passé Nerevar recesi toi

-Pas de problème mais l'action ne viendra que en haute mer avec les pirates qui sillonent les mers.

Trell termine son verre, Nerevar donne quelque pieccetes à tavernier et le couple sort de la pièce bondée. Le crepuscule arrive et il est l'heure d'aller au port.

Apres un passage en ville, je verifie mon équipement une dernière fois avant de me diriger vers le lieu du rendez-vous :

-une cuirasse de cuir (30 PO)
-un couteau de lancé (50 PO)
-deux ensemble tunique/chausse (30 PO)
-une cape de fourrure et des bottes de cuir (35 PO)

je pense que tout y est !
je prends alors la direction du port.

Nous arrivâmes enfin au port personne à l'horizon
-Ca te derange si j'allume ma pipe?

je me dirige vers le port, un joyeux brouhaha et de bonnes odeurs s'échapent par la porte de la taverne, qui se remplie cependant que les rues se vident, contrastant avec le calme de la chapelle. Les fermiers rentrent leur betes. Le crépuscule est proche. Arrivant au port, je retrouve Trell le druide et, fumant la pipe, Nerverar.

-Tiens voilà celui qui puait. Ah il s'est lavé, c'est un bon points pour lui, il a aussi achéter une nouvelle tenus.

Ils vont tous nous rejoidre, se serat l'occasion de se jauger avant la traversée.

"Voila le voleur fais attention à ta bourse Trell."

Bien le bonsoir messieurs.

Notre belle ville vous a-t-elle plus, ou ne l'avez vous peut être point visitez. Je me présente : Olan, Citoyen de FALEANIA.

"Bonsoir quel est ton nom , je me souviens t'avoir vu dans le palais mais tu m'avais pas dit ton nom."

Trell mets la main sur sa bourse et se tourne vers le ouvelle arrivants.

"Bonsoir Olan, je me nomme Trell et suis originaire du pays des Sylvestres. Je pense que nos autres compagnons ne vont pas tarder. J'espère que les pirates dorment à poing fermés la nuit, ça doit etre une raison de notre départ nocturne."

J'arrivais juste au port quand j'entendis la voix de Trell.
Je m'aprocha du groupe.
« Il n’y a pas de pirates à Faleania, nous partons de nuit pour être discret inutile d’attirer trop d’attention.»

Trois d’entre eux étaient déjà là, il n’en manquait plus qu’un l’elfe noir.

« Nous n’avons plus qu’à attendre le dernier.»

Espérons qu’il n’a pas essayé de s’enfuir, il échouerais mais cela nous ferais perdre du temps.
De toute façon tout est prés pour le départ, j’ai vendu ma rapière (50 Po) et ma rondache de bois (12Po) qui ne me seront pas utiles pour le voyage, j’imagine qu’ils se sont préparés aussi.

il ne manque plus que le roublard

"Bonjour à tous"

« Ils sont rapides et ils ont déjà tués un garde, il faut en finir vite ou le combat pourrais tourner a notre désavantage.»

Je reprends mon épée et j’attaque le gobelin.

Damnation! Des gobelins! Je savais que ce groupe de maraud ne m'apporterait que des ennuis! En voilà un qui me charge... Je suis pret à le recevoir...

Mais qu'est ce que...

A ce moment là mon gobelin vole dans les airs, je me retourne pour voir la cause de l'explosion et j'aperçoit une autre Elfe Noir, ragaillardi je reprend le combat.

Allez Trell c'est pas le moment de fuir.

Je lance mon sort de soin sur un des garde, dans la bataille, je ne sais pas lequel.

C'est quoi cette odeur de...cochon grillé. Mazette!!! une Elfe Noir mais c'est une magicienne. Il ne manquait plus que ça.

Mais qu'avons-nous là ? Encore de la vermine ! Eh bien, je suis gâtée...

Je sortis de chez moi afin de prévenir tout dégât sur ma demeure.

Il manquerait plus que ça !

-"C'est pas tout, mais il en reste." dis-je avec un regard sadique.

Oh ! Et puis zut ! Les gobelins ne m'ont pas encore vue, autant que je reste dans mon coin à l'abri et puis si ces "rats" s'approchent trop de moi, y aura du cochon grillé en plus.

A cette idée, je me sentis mieux et regardis, sur le pas de ma porte, avec curiosité comment se débrouillait ce groupe d'hommes.