Procès de l'Affaire du Gâteau de TiGond

nerevarine a écrit:

Mais je ne sais même pas où se trouve la friteuse. Elle est où cette friteuse ?

Elle est là : Grosse friture de poisson 2.
On a le droit d'y être méchant avec les autres, mais ça reste pour déconner évidemment !

Continued from page 3…..bande de bavards !!!!

grodoudou a écrit:

En effet, le juge n'était plus à sa place.
- "Mais où est-il ?"
- "On ne sait pas."
On remarqua alors une autre absence intrigante, celle du prévenu, Rojhann.
- "Mais où est-il ?"
- "A Annecy"
- "Ah non, à Nancy"
- "Ah si, à Annecy"
- "Assis à Annecy, mais que fait-il assis à Annecy ?"
Et personne ne sut répondre.

C’est ainsi que d’Annecy le juge et le prévenu (donc tous les trois) réapparurent.
Que fit Rojhann à Annecy ? s’empressa de demander la foule qui posait moult-frites questions.
Ce fut le juge qui répondit d’une voix grave-morne : « Mes chers CoMorrolandais, chers jurés, le sieur Rojhann était en fait à Annecy au chevet d’Anne Sy, une collègue de banquise experte en postiches capillaires »
Ayant appris l’inculpation (aïe) de son fidèle client (bien qu’elle ne fut au nombre ni de ses maîtresses ni de ses avocats-au vinaigre), la coiffeuse-esthéticienne d’Annecy s’était trouvée fort mal.
Fallait-il y voir un lien avec l’affaire en cours ?
Le grand désarroi de la faiseuse de rapiéçages poilus était il en rapport avec les indices trouvés sur les lieux du crime ?
Rojhann avait-il bénéficié de passes droites pour quitter le tribunal ?
Oblivion tournerait-il sous Linux ?
Les hommes singes allaient-ils envahir la terre en se servant du cerveau de Yan à Nice comme d’un portail astral ?
Le Juge Morrolandais s’était rendu sur place pour répondre à toutes ces question, et voici, chers amis la conclusion de son enquête : non.
Ceci paracheva (parapharmacie, parachutisme, paraffine, non non c’est bien ça) de rassurer le public Morrolandais bien que la fosse réservée au jurés demeura sceptique.
Ainsi donc en l’absence du Juge, le Tribunal de Moyenne Instance de Morroland était devenu semblable à Lille de la Tentation : des affaires de mœurs, du sexe et des anguilles sous roche ce qui revient à peu près au même : il y avait quelque chose de coucherie au Royaume de Vvattenfall.
Et par un effet de manche propre aux joueurs de cartes et David Copperfield, le Juge martela la sentence !
« Pitié ! Pitié » entendit-on dans le tribunal emplit soudain de longs sanglots. On cru d’abord qu’il s’agissait de la sentence, lasse des coups de marteau, mais queue nenni (n’en déplaise aux dirigeant du DAPZ) il s’agissait de Rojhann, prostré sur le parquet en la personne de son avocat Le Général.
Tous furent étonnés de la tournure étrange des événements à l’approche du retrait des jurés pour des libérations alors que ce procès avait été si banal jusqu’alors.

Je ne sais pas quel produit tu prends mais j'en veux bien !

mode "greffier, notez en marge des minutes" on :

Pfff, je ne fais que m'inspirer des auteurs précédents qui m'ont tordu de rire en lisant leur prose.

Comme disait Peter Jackson dans Première ce mois ci au sujet de son nouveau film "King Kong" : Passer le reste de sa vie à tenter de surpasser l'oeuvre de Grodoudou est vain et inutile."

75% des Morrolandais se sont pissé dessus lisant ce topic.

mode "greffier, notez en marge des minutes" off

76%: moi aussi!

Moi je suis restée propre, mais ça ne m'a pas empêché de rire.

Une fois la porte refermée sur les couilles du premier juré, le deuxième se retira du troisième, une Bretonne à la poitrine opulente, le quatrième ôta sa main de la culotte du cinquième, un zouave homo, cousin du pétrifié de la Seine, les sixième, septième et huitième jurés, tous pingouins du sud de l'Italie, le neuvième, un transexuel de Transylvanie, le dixième, numéro neuf dans une équipe de foot du Bas Rhin, le onzième, cinquième roue du carrosse garé en double file, et le douzième, bon dernier du Tour de France purent enfin s'asseoir pour délibérer.
Après trois longues interminables heures, expression stupide couramment utilisée par les pisse-copies syndiqués, puisque longues ou courtes elles font au bout du compte 60 minutes, ils revinrent porteur du verdict et d'une chaude pisse pour le juré numéro deux.
-Coupable, votre honneur, dit le premier juré d'une voix fluette.
-Votre nom, demanda le juge ?
- Albert Mes, répondit l'homme aux testicules comprimées.
-Je croyais que c'était Mesballes ? s'interrogea le juge à brûle pourpoint car sa robe sous l'effet conjugé de la clope de son greffier et de la pipe prodiguée par une admiratrice anonyme mais néanmoins compétente, prenait feu ).
- Certe, M'sieur, dit le juré mais mes Balles je les ai laissées dans la porte.
- Bon ! dit le juge en pleine extase, sans que l'on sache à quoi il faisait référence. Mais qui est coupable et de quoi donc est-ce, crut bon d'ajouter l'assesseur, jamais en mal d'une lêche et d'une approximation littéraire.
- Ben Iannanis et Rojhann sont coupables de fornication, consommation de gâteaux privés et dégradations de biens publics en la personne du lavabo des dames et assimilées.
Arghhhhhhhhhhhhh !
Ce cri gutural vrilla les tympans de l'assemblée. C'était Tigond, le propriétaire du gâteau qui venait de s'enfoncer une clé de 12 dans le fondement en guise de thermomètre en s'asseyant sur la caisse à outils du plombier venu réparer le lavabo.
- J'ma fais mal au cul, poursuivit l'impétrant tout empétré et fort gêné par l'objet.
C'est le moment que choisit le livreur de pizza pour asséner le coup de grâce aux amants diaboliques. D'un geste ample, il décapita le couple adultère à l'aide d'un sabre rutilant.
Nous l'apprendrons par la suite, que cet homme, un pingouin déséquilibré, travaillait comme tueur pour la guilde des frères Jacob et Delafon, défenseurs de bidets et autres lavabos maltraités par des culs terreux.
Cette histoire est lamentable titra notre confrère de la "Feuille de Choux" en guise d'épithaphe.
Tout le monde en fut d'accord.
Faim.

Les jeunes, ne lisez pas !

c'est jugé un peu vite non? vosu n'avez aucune preuve qu'une euh.... mmmm.... selon le stermes du jury ..... mmm... forni.;;ah j'ose pas... une forniMACHIN.... est eu lieu!


c'est honteux il ya des jeunes dans la salles!

Aucune, mais l'affaire n'a pas eu le temps d'être jugée, vu qu'on termine en pièces détachées !

Quelques mois plus tard, au fond d'une cale, un homme borgne tentait de réveiller un autre prisonnier...
"Réveillez-vous ! Nous sommes arrivés ! Vous étiez tellement fatigué que même la tempête de la veille n'a pas réussi à vous réveiller..."

Comment vous appelez-vous ?
Un peu grogui, tout hirsute, l'haleine fétide, il arriva à marmonner : "LeGénéral. Mais c'est une erreur judiciaire, je suis innocent !".
"Inutile de s'époumonner ici, peu importe ce que vous avez fait, vous avez été condamné à l'oubli dans ce monde perdu, loin de tout, comme nous tous d'ailleurs dans ce bateau.
Attention le garde arrive ! Taisez-vous....et suivez-le.."

Sniff !
C'est trop injuste !

tu dois recommencer au niveau 1euh! tu dois recommencer au niveau unheu!

Ouais, mais le Juge n'a, à aucun moment, demandé de me restituer un gâteau. Je suis lésé, moi !!!!

Je crois qu'avec la brillante clôture par Legénéral on va rester dignes et éviter les jeux de mots rendre = vomir.

Cela dit, on sait tous que tu vas te ratrapper dans le stock de gâteaux mous dont tu n'es jamais sorti.
Hé les gars ! C'est là bas qu'il faut le chercher le Directeur de l'Hospice !!!

bah évidemment!!!

je retrouvais plus la clé!


et de peur de me faire viré de mon poste d'Econome j'avais rien dit!


mais c'est le directeur lui-même qu'il l'a piqué!

Cafteur !!!

Pourquoi ne mettez-vous pas ce topic au Musée ?

Dont Acte !!